Consultations mieux-être à distance

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Reel ou Pas...........

A la recherche de son mari

 

Le 3 octobre 1863, rapporte un certain S.R. Wilmot , j’ai pris le bateau à Liverpool pour New York…

Le soir du deuxième jour commença une tempête terrible qui dura 9 jours…

La nuit qui suivit le8ème jour de la tourmente, je rêvai que ma femme, que j’avais laissée aux Etats-Unis, venait à la porte de ma cabine vêtue de sa chemise de nuit.

Découvrant que je n’étais pas le seul occupant de la cabine, elle hésita un peu, puis elle s’approcha de moi, se pencha pour m’embrasser et, après m’avoir prodigué quelques caresses, se retira tranquillement.

A mon réveil, je fus surpris de voir mon Co passager, qui était dans une couchette au dessus de la mienne, me regarder fixement. «  Quel veinard, finit-il par me dire , avoir une dame qui vous rend visite ainsi…»

A ma demande pressante, il me raconta la scène qu’il avait vue alors qu’il était éveillé.

Elle correspondait exactement à mon rêve.

Ce gentleman s’appelait William J. Tait.

Quand, quelques jours plus tard, M . Wilmot revoit sa femme , celle-ci lui demande sur le champ: « As-tu reçu ma visite mardi de la semaine dernière? »

Puis elle raconte que, minée par l’angoisse à cause de la tempête, elle a eu l’impression, à 4h00 du matin, de partir à sa recherche.

Tous les détails qu’elle donne de sa « visite » correspondent au rêve de son époux…..

 

 

 

Hantise sur les vols d’Eastern Airlines

 

 

L’histoire fait désormais partie des annales de l’aviation américaine. En décembre 1972, le vol 401 d’Eastern Airlines s’écrase dans un marécage de Floride, faisant 101 victimes. Parmi elles: le pilote Bob Loft et de son chef mécanicien Don Repo, dont les fantômes ne cesseront de hanter d’autres Tristar de la compagnie, au point de provoquer une enquête officielle. Conduite par John G.Fuller, qui recueillera le témoignage de nombreux membres d’équipage, celle-ci sera publiée en 1974 dans le bulletin de la Fondation américaine pour le sécurité aérienne….

 

  

LA DICTEE POSTHUME DE CHARLES DICKENS

 

Le 3 octobre 1872,Thomas James, un apprenti mécanicien de Brattleborough, une petite ville américaine de Vermont, reçoit la « visite » de Charles Dickens, mort 2 ans plus tôt…

L’écrivain britannique lui demande d’achever son œuvre « Le mystère d’Edwing Drood ». En transe, le jeune homme , qui sait à peine lire et écrire, rédige 1200 feuillets d’ un seul trait. L’affaire parvient aux oreilles du directeur du « Springfield Daily Union », qui dépêche au critique littéraire. Dans un article publié le 29 juillet 1873, celui-ci conclut que tout-le style, l’agencement des scènes , le caractère des personnages-est du Dickens le plus pur……


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